A propos de la "crise sanitaire" du CORONAVIRUS...

Par Alain Bednar
Plus vite on reviendra à la normale -je ne parle pas de la normalité bourgeoise mais de la normalité face au CORONAVIRUS-, mieux ce sera. L’ennui c’est qu’il n’y a pas assez de kits de dépistage, de lits en soin intensif, de masques, etc.
Mais c’est déjà le cas pour la grippe ordinaire qui fait beaucoup plus de morts chaque année et pour les mêmes raisons. 
Cette crise, d’une part, instrumentalise le CORONAVIRUS dans la lutte inter-impérialiste et pour masquer la grave crise économique de surproduction que connaît actuellement le système capitaliste (plus grave que 2008 ?) ; d’autre part elle éclaire crûment les tares d’un système depuis longtemps obsolète : le capitalisme.
Il faut empêcher les partis de la gauche opportuniste d’éteindre le mouvement de révolte de la classe ouvrière et des couches populaires.
Classe contre classe, balayons le bourgeois, balayons ce système pourri. En avant pour la révolution socialiste et le pouvoir sans partage, coercitif s’il le faut, des petits, des sans-grade, des prolos.
En pratique, dans l’immédiat, soyons les acteurs de : 
a) la reconstruction et la consolidation d’un Parti Révolutionnaire Communiste, Marxiste-Léniniste au niveau national, Européen et international.
b) du soutien total aux travailleurs dans leur lutte pour la récupération de toutes les conquêtes sociales et politiques volées par la bourgeoisie depuis 1973.
c) dans la construction d’un Front de classe contre le capitalisme, les monopoles (impérialisme) et la réaction (néo-fascisme) qu’ils génèrent ; pour le socialisme et la paix.